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samedi 31 juillet 2010

Vacaciones, holidays, vacances

21 posts ce mois-ci, wow, j'ai été prolifique.
Un 22ème, comme mon âge.
Non, je déconne, j'ai 28 ans dans 2 jours, oh le temps file.

Anyways.


Peu ou prou de posts pour le mois d'Août, car je prends des vacances bien méritées et balinaises.

Oh, vacances, ce mot est doux.

Bel été à tous et toutes, bien à vous :)

Claire.

Il était une fois...



Tu sais cette robe que tu t'achètes en te disant "Elle est trop chère, elle est trop habillée, mais elle est siiiiii belle, c'est comme si elle m'attendait là, dans cette vitrine, seule sur ce cintre, elle me parle, c'est mon amie un peu, elle me rend belle, je l'aime, on a tant de beaux moments à vivre, oh la la c'est une folie, au diable, je l'achète, tant pis, youpi, hihi."

Et puis tu l'achètes, et c'est comme si tu venais d'embrasser un garçon pour la première fois.

Chez toi tu la mets, virevolte devant le miroir.

Et tu la poses sur un cintre.

Pendant des mois, voire des années.

Parce que jamais l'occasion ne se présente de la mettre.

Elle est trop belle, trop habillée, trop virevoltante, trop menaçante pour les autres filles, trop sexy pour les garçons, trop de trop de trop de tout.

Alors tu l'oublies.

Et puis un petit matin, tu es guillerette, de bonne humeur, et tu la retrouves, cachée au fond de ton armoire.

Et tu l'enfiles, juste pour aller t'acheter un Mac Morning.

Les gens dans la rue te regardent comme si tu t'étais échappée de ton mariage à Las Vegas, et toi, tu t'en fous, tu souris et puis tu dis à ta robe " Ma cocotte, je vais t'appeler "la robe d'aucune occasion particulière", et je te mettrai dès que j'en ai envie, parce que tu es vraiment trop belle, et qu'on ne devrait pas avoir à se justifier, toi et moi, et juste qu'ensemble on rit bien".

dimanche 25 juillet 2010

Random.


AU SECOURS, MA PENDERIE VA M'AVALER!!!

FB

On sait va trop souvent sur Facebook lorsque dans la vie en chair et en os,  l'on se met a "updater" son humeur a voix haute, ou encore que l'on commente un evenement en direct par: "Claire aime".

Dimanche.



Arrivée du Tour de France, les stands à tee-shirts ne désemplissent pas, et les enfants sont suspendus en vrac et un peu partout.









 
On va donc bruncher au Winston (5, rue de Presbourg
75016 PARIS), où notre petit camarade Guillaume nous enchante avec son copieux et salvateur repas, en se remémorant nos frasques de la veille, impliquant pêle-mêle: une boutique de fleurs, un vélo ultra-rapide, un jet de bougie au visage, des taxis, une fête hawaienne, un vol de boîtes de conserve de quenelles, du vandalisme de panneau, une séance de street-fighting en perruque, un vol involontaire de chaussures, de la musique, très fort.

J'aime le dimanche.

samedi 24 juillet 2010

Tiens tiens, interessant...

http://www.biorythme.net/

tu es qui, toi.

On se connaît,
je crois,
toi et moi,
toi et moi,
toi  et moi.
On danse
ou alors on s'est inventés,
On danse,
On danse,
toi
et
moi,
et puis souvent j'ai tort, la plupart du temps, tu sais je suis sotte,
et puis toi entêté,
mais,
diable, quand je danse avec toi et puis
que
le
temps cesse d'être chiant,
et puis j'ignore tout,
et puis ton prénom,
tes qualités,
ce en quoi tu crois et,
tes souvenirs d'enfants,
leurs odeurs,
toi,
ce qui te compose,
pff.
Je m'en fous,
c'est bien avec toi,
mais tu es qui?
Toi,
tu n'existes pas
juste,
toi,
un
peu
d'eau,
un peu d'air,
juste maintenant,
pas plus tard,
pas avant,
je ne sais pas.
Juste.
Toi.
Et puis,
ah oui,
on,
ne sais pas,
alors
ne soyons pas
sérieux,
toi,
juste,
toi.
.
.
..

dimanche 18 juillet 2010

Hep.

(je n'ai pas fumé une clope depuis le 30 mai.
pas une?
pas une.
Alors que je fumais comme une droguée.
et puis j'ai cessé.
j'ai arrêté.
parce que je me suis dit.
Claire, si tu continues tu vas crever.
Mais vraiment.)
 Lascar: Excuse-moi, mademoiselle, t'as pas une cigarette?
Moi: Non.
Je ris si fort en mon for intérieur, m'en fiche, c'est une redondance, mais qu'elle est bonne celle-là :)

que sera, sera?



(a la caisse)
Caissier: Vous avez une carte de fidelite mademoiselle?
Moi: Non (dans un soupir): je ne suis pas fidele.
Caissier (en souriant): Ca vous arrivera...

vendredi 16 juillet 2010

"On a peur pour sa peau, mais on n'en laisse rien voir."






















Mon grand-père s'appelait Maurice Parent, et il a notamment été médecin de Charles de Gaulle.

Il a écrit des mémoires de guerre en 1940, jamais publiées.

Extrait...

"Au moment du déroulement des faits de guerre, la réalité est tout autre que le souvenir qui en survit dans la mémoire des mêmes acteurs, qui, sans pouvoir être taxés d'insincérité, arrivent eux-même à dénaturer les faits, oubliant en général ceux qui sont pénibles ou désagréables pour ne garder que le souvenir de ceux où la bravoure, le pittoresque, l'agrément physique momentané, ont paru comme l'oasis dans l'aridité du désert, aux yeux du voyageur dévoré par la soif.

La réalité est toute autre, répétons-le. Au moment de l'action, le combattant n'est pas un homme qui se trouve dans les conditions habituelles, normales, de penser, de sentir. Il est, en général, excédé de fatigue physique, soumis à de longues marches faites sous la pluie, ou une chaleur ou un froid extrême. Inégalement ravitaillé, il doit lutter en plus contre la privation de sommeil que pendant 4 ou 5 jours consécutifs les événements militaires l'empêchent de connaître.

Cet ensemble finit par entraîner un état d'obnubilation intellectuelle permanent. On arrive à vivre comme en rêve, où la réalité n'apparaît plus qu'estompée, comme à travers un brouillard.

Il n'est bien entendu question ici que des combattants, de ceux qui "triment sur le dur". Ceux qui vivent un crayon à la main, ne peuvent connaître de tels états.

A tels états physiques se superposent des états affectifs qui ne reçoivent pas, en général, d'apport réconfortant sur les événements extérieurs.

La peur, puisqu'il faut l'appeler par son nom, siège en permanence au coeur de l'homme. Elle est refoulée. Elle ne se traduit dans aucun geste, aucune parole, d'autant plus qu'on a la charge d'âmes. La peur ne doit pas intervenir dans les décisions, les actes de la vie militaire proprement dite. On a peur pour sa peau, mais on n'en laisse rien voir. Elle ne restreint en rien le champs de l'activité technique, ni dans son éxécution, ni dans ses fins. On tire autant de coups de mitrailleuse qu'il en faut, et on ne s'en va pas d'un endroit une seconde plus que ce qu'il ne faut. Cette peur est une manifestation de courage. Mais cette réaction incessante pour empêcher la "carcasse de trembler"est encore une raison de consommation d'énergie, que la seule tenue du corps physique dévore déjà.

La peur ainsi définie, et, non par l'attitude de l'homme qui se cache et tremble (c'est alors la frousse, la lâcheté) est extrêmement fréquente, sinon générale. Mais il faut dire qu'il y a des états de grâce dans la vie d'un combattant et que la peur disparaît au moment où l'on est dans l'action. Ces instants sont intermittents, et c'est en permanence qu'on est obligés de réagir. Il y a des individus, cependant, qui ne l'éprouvent pas et qui, au contraire, restent doués, au milieu des pires circonstances, d'une force virile, source de bravoure.

Le combattant assiste donc - avec ce corps et cette âme qu'il fait marcher par la seule raison - à des quantités d'événements physiques désagréables, pénibles, dangereux, dont la rapidité de succession, de répétition, de variation, entraîne une accumulation de sensations qui en elle-même dépasserait la réceptivité d'une physiologie normale. A ce moment-là, il s'en défend par réflexe, grâce à l'abaissement du seuil de ses perceptions, du fait de sa fatigue physique, et, aussi, par la volonté de se protéger contre cette tentative d'effraction de la personnalité consciente.

Les faits dont on est témoins se présentent donc sous un jour très spécial."




mercredi 14 juillet 2010

A waiter's tip

Every good waiter knows the difference between Scotch and Whisky, I discovered recently, and here it is.

Scotch is whiskey.

Without the "e" before the "y", it's from Scotland.

Whiskey with an "e" is traditionnaly distilled in Ireland.

Noel en Juillet






Le Bal des Pompiers c’est l’equivalent de Noel en Juillet.

La meilleure caserne ou le celebrer c’est celle de Saint Sulpice –j’y ai mes habitudes avec divers camarades depuis quelques annees maintenant.

Le plan est simple.



S’y rendre en velo par une belle soiree de Juillet, puis resquiller la LONGUE file d’attente (pas de vrai bal sans un peu de triche), quand vous franchissez l’enceinte de la grande caserne, c’est bon, vous y etes, laissez vous porter par la musique , les gentilles bousculades, les filles en talons et les garcons, oh, les garcons, en uniforme et en goguette, les garcons qui vous sourient et qui dansent en vous offrant du champagne, et peuvent, savent vous sauver la vie, c’est du sucre pour les yeux, puis tout en dansant, dirigez-vous vers le fond de la caserne a gauche et partagez entre amis une bouteille de champagne bon marche et puis dansez encore un peu, et admirez les strip-tease de pompiers qui commencent a partir de minuit moins cinq, et regulierement a chaque fois que la sirene retentit.

Noel en Juillet J

Pedale


lundi 12 juillet 2010

Facebook DON'TS


Je traîne pas mal sur les site communautaire en ce moment, parce que j'ai de longs trajets, un Iphone, et que je n'ai pas de vie :p

Et il y a juste des "status updates", (mais si, tu sais, ce truc qui dit: "exprimez-vous") qu'il est vraiment pénible de lire.

Soyons francs, c'est cool de mettre son statut à jour, çà fait même souvent plaisir et çà sert le principe même du micro-blogging, çà satisfait la curiosité des camarades, youpi.

Et ceux qui réclament le bouton "on s'en fout" en plus du bouton "j'aime" sont hypocrites, si tu t'en fous du statut des gens, que viens-tu faire sur Facebook mon chaton?

Toutefois, et on l'a tous fait, certains statuts peuvent être particulièrement irritants à lire.

Je vais peut-être me faire traiter de taliban, tant pis.

Alors par pitié et en vrac évitez de nous honorer des statuts suivants (liste non-exhaustive):

- "Corrinne est enceinte, et ignore qui est le père."
En fait, évitez de nous parler de votre santé en général, sauf si vous avez vraiment la pêche ou alors une maladie tropicale drôle et rare, mais s'il vous plaît, on n'a pas envie de déprimer ou alors de connaître les détails de votre visite chez le gynéco.

- "RIP Blackie, t'étais vraiment un cool chien".
Pareil, la mort, je ne suis pas sûre que ce soit tellement approprié, enfin, çà vous regarde, mais je trouve que çà manque un peu de pudeur, Facebook n'est pas exactement le lieu pour dresser des épitaphes.

- "kikoumegalol"
Parce que AAAAAARG, la langue française est belle, et on a un riche vocabulaire et le langage texto, et les fautes d'orthographe, çà me fait saigner les yeux!!!!!

- "Christina tu as oublié tes Tampax dans mon sac à main, tu veux que je te le mettes de côté?"
Embarrassant, confusion entre un message destiné à être posté sur le mur d'un camarade, et une mise à jour de statut - en même temps, bien fait pour vous si vous postez ce genre de chose sur un mur d'ami (e), assurément, dans le cas présent.

- Toute référence à un fait d'actualité erroné, ou périmé, parce qu'internet va vite, dans mise à jour il y a mise à jour, par définition...

- etc, etc, etc...

Random.























random

(adjectif anglais) fait, établi au hasard. aléatoire.




Jeu facile et gratifiant, si tu t'ennuies:
Amuse-toi a retrouver la legende qui correspond a la photo...


1. Une chic ville.

2. Hare Krishna dans ma rue.

3. Je n'y ai JAMAIS dormi.

4. Sans commentaire.

5. Les tetes ont des noms (mon prefere, le Gatsby).

6. Beau comme un camion.

7. Sans commentaire bis.

8. La branche burlesque de la famille.

9. Ma librairie preferee a Paris.

10. Mon monument prefere, en boule.

11. Petit rat.


samedi 10 juillet 2010

crazy arc-en-ciel


(au-dela des images, c'est le son, ha ha ha ha ha ha ha)

Cours!


Je regardais ce type courir après le bus, hier soir, et il l'a raté, et puis il a stoppé net sa course alors qu'il allait, mais si vite, et il est reparti en arrière, et je n'ai pu m'empêcher de me dire;

MAIS POURQUOI TU ARRETES DE COURIR? CONTINUE, TU VAS LE DEPASSEEEEEEEER!!!!!

My Girlfriends

Mes copines vivent au quatre coins du monde, et sont différentes et drôles,
elles ne m'appellent pas assez et quand on se voit c'est comme si on s'étaient quittées la veille, je leur parle d'amour, elles me parlent de cul,
mes amies elles font des bébés, se marient, repartent et viennent dormir dans mon lit,
avec mes copines on fait des pyjama party en buvant du champagne,
on mange des sushis tard le dimanche,
à mes cop's je leur parle de mes projets et je leur pleure dans les bras, et on pique des fous rires en se moquant des garçons et des hommes,
on chante à tue-tête ou on crie dans les rues noires, les filles et moi on fait des strip-tease inopinés, on s'échange nos fringues, on se critique, on se juge, on s'engueule et on se réconcilie, on s'encourage, on se pardonne,
on boit comme des bonhommes et on fume comme des pompiers, et le lendemain on fait du sport et un bonne détox,
avec mes copines on prend des grandes décisions et on revient dessus,
avec mes copines on s'avoue nos grandes hontes, mes copines elles ont du poil aux pattes et elles puent des pieds et elles réfléchissent,
mes copines sont des amazones;
des femmes savantes, des féministes, des filles blessées ou qui de réparent, mes copines, ce sont mes amies, je les admire elles sont trop fortes, elles ont pleins d'avenir mes amies,
mes copines sont belles et vulnérables, elles hésitent, elles ont peur et prennent leur courage à deux mains, elles donnent leur coeur,
mes copines, et puis parfois ce sont des filles d'un soir,
mes copines veulent maigrir, dépensent trop d'argent, ne savent pas ce qu'elles feront l'année prochaine, mes copines veulent cacher leur défauts, ont peur de ne pas être assez bien,
alors qu'elles sont mieux que çà, mes copines ont du talent, ce sont mes soeurs parfois, mes copines, mes amies, mes soeurs, ces filles ne sont pas des rivales, elles se valent, toutes, chacune à sa façon, les filles je vous aile, je vous aide, je vous aime ,
forza chicas, on les aura, yallah,
les filles je suis fière de vous,
vous faites de moi qui je suis,
on s'aperçoit,
et on se connait,
on se sait,
on se devine,
les filles,
les femmes,
les vieilles,
les jeunes,
forza chicas, on les aura, yallah,
my girls,
mes copines,
ne changez rien,
on s'amuse trop,
forza chicas, on les aura, yallah.

lundi 5 juillet 2010

Sandwich "apres la pluie vient le beau temps"


Ideal lorsqu'il fait chaud et avec ces variations de temperature...

Dans une baguette, tartiner du Saint Agur Creme, de la mayo et de la Picadilly.

Parsemer de roquette, carottes rapees.

Y deposer des petites tranches de magret de canard froid.

Enjoy, avec un peu d'eau petillante, ou du "tinto de verano -speciale dedicace Emilie) = vin rouge, limonade, jus de citron, glacon.

Frais :)