Exemple.
Vous êtes dans un ascenseur et l'une des personnes émet une flatulence, communément appelée "prout", ou encore "fart" chez nos amis anglophones.
Cela fait rire l'autre personne, ainsi que la personne pétomane, et donne lieu a un échange de plaisanteries gaillardes.
A ne pas pratiquer avec une personne inconnue, dans ce cas, cela créé juste un malaise du type: "Je sais que tu as pété, je ne dis rien mais je n'en pense pas moins."
La situation étant pire dans le cas où le pétomane nie son méfait nauséabond comme dans: "Beurk, mais qu'est-ce que c'est que cette vilaine odeur?", s'attirant ainsi une hostilité certaine de par sa mauvaise foi évidente...
La connivence est manifeste pour un cas comme celui du populaire conte "Les habits neuf de l'empereur."
Cette histoire fameuse relatant l'aventure d'un vaniteux empereur qui engage un malin tailleur pour lui confectionner une tenue. Le tailleur lui promet monts et merveilles, mais en réalité, il ne fait rien. L'empereur ne veut pas passer pour un sot lorsque l'escroc lui fait enfiler son inexistante tenue. Il est donc nu, la Cour se pâme devant sa supposée sublime tenue, jusqu'à ce qu'un petit garçon s'exclame de la désormais célèbre: "Mais il est tout nu l'empereur!"
Méthode communément pratiquée en politique comme dans:
- N'importe quel UMP: "Jean Sarkozy? Il mérite bien de gouverner l'EPAD", ou encore "Travailler plus pour gagner plus, mais bien sûr que c'est possible, parce que du travail, en ce moment, il y en a plein en France", ou enfin "Le débat sur l'identité nationale est orienté? Allons bon..."
- "Oui, oui, il a raison", renchérit Frédéric Lefevbre a tous les coups -il acquiesce tout le temps, lui.
Attention tout de même à ne pas tomber dans la théorie du complot, comme dans "Ce pays est gouverné par les scientologues ET ILS VEULENT NOTRE MAAAAAAAAAAL!"
La connivence, en somme, entre camarades, c'est très amusant, en politique parfois, çà l'est moins.